Depuis la mi-octobre 2024, la France connait des périodes de pluies à répétition. Les précipitations durent, tant et si bien qu’il est difficile d’imaginer un manque d’eau au cours des prochains mois. Pour autant, rien ne garantit que l’été et l’automne ne seront pas marqués par des épisodes de temps très secs, surtout que le changement climatique tend à en augmenter la fréquence. Anticiper dès maintenant cette éventualité reste recommandé, en appliquant Best-a maïs ! Alors comment positionner la solution à base de phytostérols dans ce contexte ?
Nous sommes presque à la fin du printemps, et après un hiver déjà très arrosé, il continue de pleuvoir abondamment dans de nombreuses régions. Si certaines cultures souffrent de l’excès d’eau, l’abondance des précipitations combinée à une relative hausse des températures offrent en revanche de bonnes conditions pour la levée du maïs. Pour ceux qui auront pu semer.
Rechargés en eau, les sols devraient pouvoir satisfaire les besoins futurs de la plante. Devraient… Car pour autant, faut-il écarter l’éventualité d’une sécheresse durant les mois d’été ? Les prévisions pour l’été 2024 tablent en tout cas sur un temps sec et ensoleillé, avec des températures au-dessus des normales de saison. En moyenne, une culture de maïs en France consomme entre 400 et 600 millimètres d'eau pendant la période de juillet et août.
Un stress peut survenir en quelques jours
Tout comme les épisodes de pluies intenses, ceux de temps chaud et sec sont appelés à devenir plus fréquents en raison du changement climatique. Une sécheresse n’est jamais à exclure, et un stress hydrique peut survenir en seulement quelques jours.
Il suffit d’une journée pour impacter les rendements, notamment si celui-ci intervient à un stade sensible. A noter que dans de nombreuses régions, les semis ont dû être décalés faute d’une météo adaptée et que les plantes seront alors d’autant plus exposées au stress hydrique de fin de cycle.
Sachant que deux stades clés des composantes du rendement surviennent durant juillet et août (la floraison puis le remplissage des grains), parier d’avance sur une disponibilité continue et suffisante de l’eau pour les cultures est un risque à ne pas prendre, d’autant que les solutions existent pour l’éviter.
UtiliserBest-a maïs au bon moment, en préventif, prépare les plantes à passer le cap du manque d’eau durant ces étapes cruciales. L’action des phytostérols améliore la gestion de la réserve en eau par la plante et sécurise les rendements en cas de stress hydrique.
Deux heures sans pluie après application
Il convient alors de rappeler les conditions d’application du produit, afin que celui-ci libère au maximum son potentiel. En conditions humides, il faut notamment veiller à ne pas intervenir sur sol hydromorphe, lorsque celui-ci est visuellement saturé en eau.
L'eau contenue en excès dans le sol limite, en effet, la diffusion du Best-a maïs vers les racines des plantes, réduisant son absorption et son efficacité. Il est indispensable d’attendre un ressuyage suffisant de la parcelle.
L’hygrométrie doit par ailleurs être inférieure à 70 % et la température extérieure comprise entre 6 et 25°C. Le produit agit plus efficacement lorsque les feuilles de la plante ont séché. Un délai de deux heures sans pluie après application est également indispensable pour éviter que la solution ne soit lessivée.
Enfin, Best-a doit être appliqué au stade 6-10 feuilles, avant que les plantes ne manquent d’eau, et en conditions poussantes. De ce côté-là, les conditions devraient normalement être réunies.
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Cet article a été rédigé et illustré par notre partenaire. La rédaction d’aladin.farm n'a pas participé à sa production ni aux choix des visuels.
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