Malgré un hiver et un printemps caractérisés par des précipitations abondantes, une gestion efficace de l'eau reste cruciale pour prévenir le stress hydrique estival des cultures de printemps. Une stratégie proactive utilisant des biosolutions s'avère efficace pour maintenir les rendements agricoles, particulièrement avec les prévisions d'un été chaud et sec.
Durant les mois d’hiver et en ce début de printemps, la France a bénéficié de pluies notables, rompant avec les périodes de sécheresse précédentes. Cependant, cette abondance passagère ne garantit pas la recharge suffisante des nappes phréatiques pour soutenir les cultures durant les mois les plus chauds, où les précipitations se font plus rares. Il est donc essentiel d’adopter des pratiques préventives pour anticiper les périodes de déficit hydrique à venir, d’autant plus que les prévisions météorologiques annoncent, influencées par le phénomène El Niño, une saison estivale plus chaude et sèche que la normale. Ces anomalies thermiques estimées entre +1 et 2°C auront pour effet d’accroitre l’évapotranspiration.
A noter que pendant la floraison et lors d’une journée très chaude, l’ETP quotidienne du maïs peut être de 7 à 8 mm, ça veut dire que cette journée-là, la plante va consommer 7 à 8 mm d’eau.
Parmi ces pratiques, on compte pour le maïs la sélection de variétés résistantes à la sécheresse ainsi que le semis précoce, permettant aux plantes de passer la majorité de leur cycle de croissance hors des périodes les plus chaudes. L'utilisation de biosolutions à base de phytostérols pour renforcer la résistance des plantes au stress hydrique est un autre levier qui a fait ses preuves.
Pour le tournesol, culture également vulnérable au stress hydrique, l'adoption de notre produit EliSun-a est aussi recommandée. EliSun-a est spécialement formulé pour renforcer la résilience du tournesol face aux périodes de sécheresse prolongée. Ce produit agit en stimulant la physiologie de la plante pour optimiser l'utilisation de l'eau et augmenter la profondeur des racines, permettant ainsi une meilleure exploration du sol et une utilisation plus efficace des réserves d'eau.
Le mot d’ordre : préventif !
Ces biosolutions, Best-a pour le maïs et EliSun-a pour le tournesol, ne remplacent pas les apports d’eau mais permettent aux plantes de mieux gérer les ressources en eau disponibles. En appliquant ces traitements en préventif, les plantes peuvent maximiser l'utilisation de l'eau, réduisant ainsi leur besoin jusqu’à 20 %. En outre, l'application préventive de ces solutions permet de maximiser les rendements à hauteur de +10% en moyenne.
Pour résumer, même si les précipitations des saisons précédentes ont été généreuses, il est impératif de rester vigilant et proactif face au risque accru de stress hydrique lié aux prévisions d'un été chaud et sec. L'adoption de ces pratiques et produits préventifs peut jouer un rôle clé dans la sécurisation des investissements agricoles et la préservation des rendements futurs.
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Cet article a été rédigé et illustré par notre partenaire. La rédaction d’aladin.farm n'a pas participé à sa production ni aux choix des visuels.
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