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Déficit ou excès d’eau dans les sols, une fatalité ?

Les conditions extrêmes de cette campagne 2024 seraient de nature à nous faire sombrer dans le fatalisme  Alors, gros plan sur la fertilité hydrique du sol*.

De quoi parlons-nous ?

La fertilité hydrique est au compte de la fertilité naturelle des sols au même titre que la fertilité physique, la fertilité chimique et la fertilité biologique. Un sol idéal devrait contenir 25% de son volume en eau au point de ressuyage. La bonne fertilité hydrique est la capacité d'absorption des excès d’eau, de stockage en profondeur et de restitution à la plante en cas de déficit pluviométrique.

Erosion, engorgement hivernal, hydromorphie et asphyxie sont des signes d’une mauvaise fertilité hydrique.

A voir avec la porosité du sol

La fertilité hydrique c’est le bon équilibre entre la vitesse d’infiltration et la rétention de l’eau. C’est donc aussi affaire de porosité du sol. La macroporosité est en relation avec l’infiltration de l’eau par gravité dans le sol, encore faut-il qu’elle soit continue pour en permettre une bonne circulation. La réserve hydrique mobilisable par les racines ou par évaporation est l’eau capillaire des microporosités.

Par l’activation des champignons bénéfiques du sol NUTRIGEO agit sur l’augmentation de la porosité du sol.

L’humus : une éponge à économie d’eau

Dire que l’humus et l’eau font bon ménage relève du pléonasme. Avec une aptitude, couramment admise à stocker l’eau à hauteur de dix fois son propre poids, l’humus mérite d’être qualifié d’éponge.

L’humus est un condensé de tissus végétaux et de matière vivante. Sa composition est très proche des tissus dont il est issu. Lorsqu’il y a minéralisation et qu’il remet à disposition ses réserves stockées, les produits assimilables qu’il relargue dans la solution du sol sont présents dans des proportions requises par la plupart des végétaux. Les plantes ont donc à disposition le menu parfait. Elles ont des besoins qui doivent être satisfaits pour chacun des éléments.

Dans le cas où un déséquilibre survient, la plante va continuer à évapotranspirer pour accéder à l’élément manquant sans pour autant fabriquer et accumuler de la matière sèche au degré optimal. C’est alors la double peine d’une perte de rendement et du “gaspillage” de l’eau. La plupart des plantes demandent entre 250 et 750 litres d’eau par kilo de matière sèche fabriquée. L'optimisation de la nutrition via le sol et l’humus permet de rester dans les zones basses de cette fourchette. 

NUTRIGEO agit sur la fertilité hydrique des sols

Des mesures comparatives d’infiltrométrie à saturation démontrent que sur les parcelles ayant reçu du NUTRIGEO la vitesse d'infiltration de l’eau est bien plus importante : +70% par rapport au témoin. 

*Les informations figurant dans cet article sont en grande majorité à porter au crédit de Francis Bucaille auteur de “REVITALISER LES SOLS” ED.DUNOD et co-fondateur de Gaïago. Baisse de la disponibilité de l’oxygène Image générée par IA

Cet article a été rédigé et illustré par notre partenaire. La rédaction d’aladin.farm n'a pas participé à sa production ni aux choix des visuels.

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