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Pour lutter contre le stress hydrique, misez sur le préventif !

À l’heure où la pluie fait déjà défaut, la gestion de l’eau et la lutte contre le stress hydrique des cultures, notamment le maïs, s’annoncent, cette année encore, essentielles pour préserver les rendements. Pour aider la plante à se préparer à ces périodes de sécheresse, le recours aux biosolutions intègre le panel de solutions à combiner pour une stratégie efficace. À condition d’intervenir en préventif. Voici quelques arguments à rappeler, sur le terrain, à vos clients agriculteurs.

Alors que les pluies ont fait leur retour en France le 23 février, bon nombre de régions affichait, à cette date, le triste record de 32 jours sans pluie : la plus longue période depuis le début des mesures en 1959. Et le compte a repris depuis. Cet hiver très sec met en péril le rechargement des nappes phréatiques et, à n’en pas douter, inquiète certains des producteurs de maïs que vous conseillez à l’heure où les semis se préparent.

Pour les rassurer, n’hésitez pas à leur prodiguer quelques précieux conseils, à commencer par rappeler les leviers d’anticipation du manque d’eau, facteur qui va devenir une composante récurrente des campagnes culturales.

  1. Le choix de variétés tolérantes à la sécheresse

  2. Le semis précoce. Le maïs réalise ainsi une grosse partie de son cycle en dehors des gros coups de chaud estivaux. Les plantes ont plus de chances de bénéficier de conditions clémentes jusqu’à fin juin.

Retarder le moment où la plante entrera en stress hydrique

Pour limiter le stress hydrique, une autre solution désormais à intégrer dans l’attirail est :

3. Une biosolution à base de phytostérols, une molécule naturelle qui agit sur la résistance aux stress. Elle va aider la plante à anticiper le manque d’eau.

Pour tirer le meilleur parti des propriétés de cette biosolution et avoir un effet rémanent, il faut absolument agir en préventif ! Expliquer le mode de fonctionnement de ce produit permet de comprendre pourquoi, et alors de le positionner au mieux. L’action sur la physiologie de la plante est garantie, si la biosolution est appliquée dans des conditions adéquates, en l’occurrence en préventif.

Une biosolution comme Best-a d’Elicit Plant ne remplace, en effet, pas un apport d’eau mais elle retarde le moment où la plante entre en stress hydrique. Son mode d’action est invariable, quel que soit le contexte pédoclimatique, et génère un message qui change le comportement physiologique de la plante afin qu’elle s’adapte au manque d’eau. Parmi les modifications actionnées : la réduction de l’évapotranspiration et la stimulation de la croissance racinaire pour explorer davantage le sol à la recherche d’eau.

Un traitement en préventif laisse à la plante le temps de se préparer en profitant au maximum de l’eau encore disponible tout en limitant les besoins en eau de la plante : entre 10 et 20 % de moins selon Elicit Plant. Le tout, sans impacter sa croissance.

Bénéfice agronomique en réponse aux enjeux économiques

L’enjeu est donc d’appliquer le Best-a avant que l’eau ne vienne à manquer. En plus des aspects agronomiques, n’hésitez pas à rappeler les enjeux économiques. Car une telle stratégie sécurise les investissements des agriculteurs, tant au niveau de l’irrigation, le cas échéant, car la plante gère mieux la réserve utile du sol, que des intrants, et plus globalement de la mise en culture, car elle préserve le rendement ! Cette action préventive a un effet rémanent jusqu’à la sénescence de la plante. Une seule application suffit. Alors que pour le maïs, la phase la plus sensible au stress hydrique s’étend du stade « 15 feuilles » au stade « limite d’avortement des grains », le positionnement optimal pour Best-a se situe autour du stade 8-10 feuilles.

Cette solution, appliquée en préventif permet non seulement de préserver le rendement dans des conditions de stress hydrique – ce qui est un réel atout économique – mais également la qualité sanitaire des récoltes : un enjeu indispensable pour répondre aux attentes des clients de l’aval, notamment ceux des filières de qualité.


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Cette publi-information a été rédigée et illustrée par notre partenaire. La rédaction d’aladin.farm n'a pas participé à sa production, ni aux choix des visuels.

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